Avec lui, c’est venu lentement, sans que je m’en rende compte… Puis j’ai compris…j’ai compris que sa présence était devenue un baume,que son absence était une brûlure… Un matin, à force de l’avoir à mes côtés,j’ai pris conscience que je ne serais plus capable de me passer de lui.
Courir tout nu , rigoler avec ses amis, manger toutes les cochonneries qu’on peut trouver, dormir toute la journée, sortir en ville, rentrer tard, répondre à ses parents, pleurer pour un chagrin d’amour, regarder des films d’horreurs, sécher les cours, critiquer les gens qu’on croise, envoyer des messages jusqu’à pas d’heure, ne jamais ranger sa chambre, parler de garçon, ne pas faire ses devoirs, vouloir sans cesse de nouveau habits, se poser quelque part et mater les garçons qui passent, penser à l’avenir, aller à une soirée, tomber amoureuse,être bourrés, faire le mur, regarder des séries à la télévision, faire un gâteau juste pour manger la pâte, se maquiller, envoyer des messages en cour, inviter des potes chez soi, faire des rencontres, se disputer avec une amie, être en retard en cour, danser jusqu’à en avoir des courbatures, prendre une douche pendant des heures, passer des heures dans un magasin, s’en foutre du regard des gens, profiter de tout. La jeunesse, c’est le moment de ta vie le plus important, les moments dont tu te souviendras toujours même a 45 ans .
Quand on arrive dans une ville, on voit des rues en perspective. Des suites de bâtiments vides de sens. Tout est inconnu, vierge. Voilà, plus tard on aura marché dans ces rues, on aura été au bout des perspectives, on aura connu ces bâtiments, on aura vécu des histoires avec des gens. Quand on aura vécu dans cette ville, cette rue on l’aura prise dix, vingt, mille fois. Au bout d’un temps cela vous appartient parce qu’on y a vécu.
Mon plus grand handicap, c’est pas d’être en fauteuil, c’est d’être sans elle.
Tu vois, en amitié on ne passe pas devant le maire, alors il n’y a pas vraiment de date anniversaire ; mais ça peut quand même durer toute une vie puisqu’on s’est choisis
Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d’inoubliables chagrins. Il n’est pas nécessaire de le dire aux enfants.
Aurions-nous pu faire autrement? Tenir côte à côte sans tituber? Sans nous séparer? Avons-nous renoncé trop tôt? Nous ne le serons jamais. Il est trop tard,…
DesBellesCitations 